L’Afrique a encore un travail pharaonique à faire sur son passé le plus lointain. Les outils pour en appréhender des pans entiers ne manquent pas. Mais encore faudrait-il ben arriver à les décrypter et les interpréter. En cela, le Prêtre jésuite camerounais Engelbert Mveng, auteur de plusieurs œuvres sur la théologie, l’anthropologie, l’art et l’histoire ; avait bel et bien raison d’écrire dans L’Art et l’artisanat africains, paru aux Editions Clé en 1980 à Yaoundé, au Cameroun : « L’histoire négro-africaine est écrite en œuvres d’art. Le déchiffrement de cette histoire ouvre une page d’épigraphie singulière et inédite. Il n’est plus vrai de dire que l’histoire négro-africaine manque des documents écrits, ce qui est vrai c’est que souvent nous sommes analphabètes devant son écriture ».
DE L’ORIGINE DU NOM « DJENNE »
Dans l’article intitulé « Banco gagnant à Djenné » rédigé par Philippe MASSON et publié le 04/12/2009*1, il écrit :
« Et Djenné se convertit à l'islam :
la légende de la pépite d'or : En 1280, le roi Koi Komboro, confronté à la montée de l'islam, décida de mettre à l'épreuve l'imam de Djenné. Le marché était simple : si l'imam lui démontrait que sa foi était la plus forte, l'islam deviendrait la religion d'État. Sinon, tous les musulmans seraient exterminés.
Koi Komboro remit donc à l'imam sa plus grosse pépite d'or et lui en confia la garde. Le roi fit dérober la pépite durant la nuit par l'un de ses serviteurs et la jeta lui-même dans le Bani, affluent du fleuve Niger.
L'imam, convoqué le lendemain, avoua ne plus posséder l'or mais affirma que Komboro le retrouverait bientôt.
Le surlendemain, la femme du roi se rendit au marché de Djenné pour se réapprovisionner en condiments. Elle remarqua un superbe poisson sur l'étal d'une femme Bozo. Elle acheta le « capitaine », goûteux poisson des profondeurs du Bani. En le parant pour le cuisiner, elle retrouva la pépite qu'elle remit à son mari.
Koi Komboro se convertit à l'islam et fit don de son palais qui fut rasé. Les fidèles érigèrent sur le site la célèbre mosquée en banco ».
VOILA POUR LA LEGENDE !
Selon WIKIPEDIA, le nom signifie « génie des eaux » en langue bozo.
Les BOZO sont un peuple de pêcheur qui vit principalement au Mali et il est connu pour sa parfaite maîtrise du Fleuve Niger et de son affluent le Bani. Nombreux sont les chercheurs qui pensent que les BOZO sont à l’origine de la création de plusieurs localités le long du Fleuve.
POURQUOI CETTE EXPLICATION EST EXACTE
Le nom « Djenné » donné à la ville du Mali que l’on connaît comme l’une des plus anciennes villes d’Afrique, avec sa GRANDE MOSQUEE considérée comme le plus grand bâtiment en terre d’argile au monde jamais bâti au nom de l’ISLAM. Elle est inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1988 sous le nom « Villes anciennes de Djenné ». Djenné, est connue et célèbre à travers le monde pour être « la Ville aux 313 Saints ». Mais elle fut aussi la Capitale à la fois de l’Empire du Mali et de l’Empire Songhai.
Le nom « Djenné » n’est pas tombé du ciel. Il est un nom « PAIEN » par excellence. Il s’origine dans le CONCEPT ANCIEN de DJEN. C’est un concept qui est le strict apanage de la FAMILLE DES LANGUES NIGER-CONGO ou LANGUES NIGERO-CONGOLAISES qui a bel et bien précédé la naissance de l’EGYPTE PHARAONIQUE.
DJEN = LUO. C’est tout simplement du pareil au même.
Les Rois-Prêtres Agraires avaient pour DIVINTE PREMIERE, la DIVINITE DE L’EAU.
DJEN = LUO désigne à la fois la DIVINITE autant que le PRETRE qui est chargé des SACRIFICES. Et, je ne cesserai jamais assez de le répéter : ce sont les LUOS qui ont migré de la NUBIE ANTIQUE pour aller fonder la COLONIE de l’EGYPTE ANTIQUE. En effet la DIVINITE de la NUBIE ANTIQUE s’appelle DJEN.
Comme je l’ai déjà écrit dans mon ouvrage « Patrimoine Le legs de l’Afrique noire à la Grèce et la Rome antiques », Editions Complicités, (Essai), Paris, 2019 en parlant de l’origine du mot DJINN en Français, il a été emprunté à la NUBIE ANTIQUE :
« Il en est de même, lorsqu’on parle du mot « Génie » et de « Djinn » On fait du premier un mot grec qui vient de « Générer » et du second un mot arabe. Et l’on s’empresse de mentionner qu’il ne faut pas y voir un rapport quelconque entre ces deux mots, contrairement à ce que leurs significations suggéreraient. Larousse dit ceci : « Génie nom masculin (latin Genius, divinité tutélaire, puis talent) Dans les contes fantastiques, être surnaturel doué de pouvoirs magiques. Personnification allégorique d'une idée abstraite ; représentation de cette allégorie. Aptitude naturelle de l'esprit de quelqu'un qui le rend capable de concevoir, de créer des choses, des concepts d'une qualité exceptionnelle : Le génie d'Einstein. Personne douée de cette aptitude ; talent : un génie méconnu. Ensemble des caractères naturels qui sont essentiels à un peuple, à une langue, à une civilisation, etc., et leur confèrent leur originalité. À Rome, conscience divinisée de chaque homme. (Le Genius du père de famille était honoré sur l'autel familial.) »
Quant à Djinn, le CNRTL nous explique que « Rem » Le mot a pu être popularisé par le célèbre poème de V. Hugo, intitulé Les djinns - Les Orientales, XXVIII. Prononc. et Orth. : [dʒin]. Ds Ac. 1878 et 1932. Étymol. et Hist. 1666 dgin (J. DE THÉVENOT, Suite du Voyage de Levant, Paris 1674, p. 263 ds Fr. mod. t. 21, p. 293) ; 1829 djinn (HUGO, Les Orientales, p. 84). Empr. à l'ar.ǧinn « démon, bon ou mauvais » (FEW t. 19, p. 57b). Fréq. abs. littér. : 32*2»
« DJEN » EST AU COMMENCEMENT DE TOUT…
« DJEN » est un CONCEPT à la fois ESOTERIQUE et RELIGIEUX. Il est fondamental dans la culture des Anciens peuples de la VALLEE DU NIL. L’expression BIBLIQUE selon laquelle AU COMMENCEMENT ETAIT LE VERBE est tout aussi in emprunt à la THEOLOGIE EGYPTO-NUBIENNE.
Il existe une panoplie de mots et de noms composés avec la racine de DJEN que l’on ne trouvera nulle part ailleurs que dans les LANGUES NEGRO-AFRICAINES. Et pourtant ils continuent de MENTIR comme des arracheurs de dents sur les ORIGINES NEGRO-AFRICAINE de la Civilisation de l’EGYPTE ANTIQUE. Djer (Sekhty), Djeser (Djoser), Djet (Ouadji), Djedefrê (Radjedef), Djehouty (Général), Djehoutymes (Thoutmôsis III), Djedkarê Isesi, Djedkarê II Shemaï (Djedkarê II Shemu), Djeserkheperourê (Horemheb) sont quelques-uns de ces noms-là.
DJEN est intrinsèquement lié au VERBE comme il est dit dans la BIBLE à travers la PAROLE. Car la LANGUE en tant qu’organe même se dit en langue Nateni : DJENFA ou DJEN-NOUNFA. Lequel mot selon l’intonation pourrait également signifier : GOURDE.
La GOURDE, dans la COSMOGONIE de la VALLEE DU NIL est l’un des éléments les plus importants dans le SYMBOLIQUE et le SACRE.
DJEN est intrinsèquement lié à la CREATION comme il est dit dans la BIBLE à travers l’acte même de FAIRE NAÎTRE, dans tous les sens du terme. Mais à commencer par l’ICONOGRAPHIE. Ainsi DESSINER se dit en langue Nateni : DJENA.
DJEN peut vouloir dire UN dans la NUMERATION des NATEMBA.
DJENDA, selon l’intonation (le NATENI est une langue à tons) peut vouloir signifier REGARDER, VOIR ou DERNIER. Mais aussi RAPPORTER, CHUCHOTTER, etc.
Je pourrais multiplier des exemples de mots formés à partir de la racine DJEN pour démontrer à tous ceux qui continuent de s’accrocher désespérément à des théories éculées et sans fondements sur les origines des EGYPTIENS ANCIENS qu’ils étaient bel et bien des NOIRS D’AFRIQUE.
Même si les NATEMBA ne sont pas isolés GEOGRAPHIQUEMENT parlant au NORD-OUEST DU BENIN, le NATENI (la langue des NATEMBA), est quant à elle, une des survivances du PALEOLITHIQUE qui s’est le mieux conservée d’un point de vue LINGUISTIQUE au nombre des LANGUES NIGER-CONGO ou LANGUES NIGERO-CONGOLAISES.
LE CONCEPT DE « DJEN » : DE L’EGYPTE ANTIQUE A NOS JOURS
DJEN : Djen est une ancienne divinité du Prédynastique qui a fini par être littéralement éclipsée pendant l’Epoque pharaonique et reléguée quasiment au dernier rang. Quand on connaît l’Histoire et la langue des Natemba, il est aisé de se rendre compte que Djen est le Dieu de référence de leurs Ancêtres si l’on excepte Ra ou Rê, c’est-à-dire le Soleil. Ajouté à bien d’autres synchronismes archéologiques et synchronismes textuels, on peut affirmer que, sans doute possible, les Ancêtres des Natemba actuels avaient déjà quitté la Vallée du Nil bien avant la Période Proto-Dynastique, voire la Période Pré-Dynastique. Tant et si bien que même pendant la Période pharaonique, les Egyptiens anciens ont fait du phonème D ou Dj dans leurs hiéroglyphes le symbole conventionnel pour désigner le Serpent. Or tous les Grands Initiés savent qu’en Afrique Noire et, dans la Vallée du Nil en particulier, le Serpent (en l’occurrence le Cobra) est le premier symbole auquel la Théologie et le Clergé sont associés. Et le Roi aussi par voie de conséquence en tant que Représentant putatif de Dieu sur Terre et Grand Prêtre.
Les Gourmantché appellent le Palais royal Nunbado Diegu que l’on peut encore écrire en français Nounbado Diegou. Le Natemba moderne y trouverait phonétiquement une langue similaire mais aurait beaucoup plus de mal à en décrypter les évolutions ou altérités qui ont fait la différence d’avec sa langue actuelle s’il ne connaît pas son histoire. Ce qui ne pouvait pas être le cas des Anciens ou des initiés. Pour décrypter ce nom, il faut le décomposer en :
- Nun ou Noun : Nom originel du peuple dont descendent les Gourmantché et les Mosse notamment, c’est-à-dire les Proto-Moose ou Wasangari ou Nouma ou Nanoumba ou Somba, etc.
- Bado : Chef ou Roi ou Porteur des attributs sacrés
- Diegu ou Diegu : Demeure ou Habitation ou Palais pour ce qui est du Roi.
Chez les Natemba, Bado est devenu Balo et Diegou s’est transformé en Dieri. Cela nécessite de faire appel à la fois à la linguistique et l’histoire pour le déceler. Dans la langue moderne, le Natemba dit Na-Dieri pour indiquer une demeure ou une habitation. Mais Dieri est presque tombé en désuétude au profit d’un autre synonyme à savoir Amon qui donne Na-Amon qui veut dire aussi bien symboliquement que théologiquement la même chose que Dieri. Nalerigu que l’on aurait pu écrire aussi Na-Lerigu, le nom de la capitale politique et spirituelle des Dagbamba du Nord du Ghana, comprend en réalité une troisième variante signifiant la Grande demeure ancestrale qui faisait toujours office de Palais royal. Autrement dit, Diegu = Lerigu = Diéri, c’est du pareil au même. Car si l’on pousse plus loin la comparaison, il n’y a qu’un pas pour remonter à la langue de l’époque Prédynastique dans la Vallée du Nil. Diegu tout comme Dieri étant la demeure du dieu Djen très important à l’époque Prédynastique et qui, occultée à l’époque pharaonique (divinité du 21e porche dans ce que les égyptologues appellent le Livre des Morts), cèdera sa place à Amon, une divinité rendue davantage célèbre par les prêtres et les pharaons. Les noms Djer (Sekhty), Djeser (Djoser), Djet (Ouadji), Djedefrê (Radjedef), Djehouty (Général), Djehoutymes (Thoutmôsis III), Djedkarê Isesi, Djedkarê II Shemaï (Djedkarê II Shemu), Djeserkheperourê (Horemheb) et autres portent en eux cette racine Dje du nom de ce dieu ancien et majeur dans l’Egypte prédynastique qui est devenu un dieu mineur dans l’Egypte pharaonique. Rien d’étonnant si Djeser dont le nom d'Horus est Netjerikhet est celui qui fait du Disque solaire ou Ra le principal dieu de l’Egypte antique et que l’autre nom de Ouadji est Djet.
Cette ancienne divinité Djen qui a été évincée en perdant de son importance à une époque sans doute plus tardive, conformément à l’esprit de rivalités entre divinités égyptiennes, est très certainement aussi celle de laquelle s’origine le pilier Djed, l’un des grands symboles de l’Egypte ancienne. Les autres étant, la croix Ankh, le sceptre Ouas avec le fameux animal séthien (*16) et l’œil Oudjat. En somme, ce que les Egyptiens anciens appelaient Per-Âa, que les Natemba désignent encore de nos jours par Na-Ankh a la même symbolique et signification ancestrale que Na-Diegu, Na-Lerigu, Na-Diéri, Na-Ankh, Na-Amon ou tout autrement dit Nounbado Diegou du Roi du Gulmu.
EN GUISE DE CONCLUSION
Je n’ai jamais prétendu que CHEIKH ANTA DIOP était au-dessus des critiques, entendu que toute personne qui entreprend un travail ne saurait être au-dessus des critiques. Dieu même n’est pas exempt de critiques a fortiori un être humain. Et CHEIKH ANTA DIOP qui est un GENIE – au sens noble du terme, c’est le cas de le dire -, n’avait pas la science infuse non plus. Qu’on s’entende bien là-dessus.
En revanche, je me suis érigé, et de manière virulente, contre certains chercheurs occidentaux qui ont pris à parti CHEIKH ANTA DIOP sous prétexte qu’il avait une APPROCHE LINGUISTIQUE de l’histoire de l’EGYPTE ANTIQUE. Et j’ai souligné leur grande inculture en matière de LANGUES NEGRO-AFRICAINES sans pour autant excuser leurs propos à son égard et par la même occasion à l’égard de THEOPHILE OBENGA. Car en vérité, et je défie quiconque de me prouver le contraire, si vous ne maîtriser pas les CONCEPTS LINGUISTIQUES de l’Afrique Noire Antique, il vous serait impossible de comprendre une bonne partie de son Histoire ancienne. CAR UNE BONNE PARTIE DE CETTE HISTOIRE ANCIENNE SE TROUVE JUSTEMENT GRAVEE DANS LES LANGUES ANCIENNES. A étudier toutes ces langues de manière minutieuse et approfondie, il appert que ce sont les CONCEPTS des LANGUES NIGER-CONGO ou LANGUES NIGERO-CONGOLAISES qui se sont imposés à l’HOMO SAPIENS d’il y a au moins 70.000 ans comme CONCEPTS FONDAMENTAUX de la MIGRATION « OUT OF AFRICA ».
Au demeurant, j'ai dit et je persiste et signe que si le NATENI possède autant de cognats avec les LANGUES INDIENNES aujourd'hui encore et en particulier la LANGUE LITURGIQUE de l'INDE ANCIENNE comme les études comparées du NATENI et des LANGUES INDIENNES que j'ai faites le prouvent, il apparaît de toute évidence que ceux qui ont transporté en INDE et légué ce SUBSTRAT LINGUISTIQUE aux LANGUES INDIENNES venaient de la VALLEE DU NIL et appartenaient à cette grande FAMILLE des LANGUES NIGER-CONGO ou LANGUES NIGERO-CONGOLAISES. Pour cela, il faudrait remonter entre 15.000 et 20.000 ans avant Jésus-Christ. CONCLUSION: les ancêtres des DRAVIDIENS étaient issus du même peuple que les ancêtres des EGYPTIENS ANCIENS. Et ils étaient bel et bien des NOIRS.
En parlant de l’origine du nom du Mont Sinaï dans une autre Tribune intitulée : Origine du mot « Sinaï » : Quand l’histoire de l’Inde antique vient éclairer celle de l’Egypte antique. Et vice versa…*4 ; j'en avais déjà effleuré le sujet. Encore une fois, je défie quiconque de me prouver le contraire. Je demande aux Indianistes et aux Indiens qui sont passionnés de langues et qui estiment que je fabule de me contredire. Le débat est ouvert. Et si je mens, en principe, je devrais en avoir peur.
Ils peuvent se fermer les oreilles, ils n'ont très certainement pas fini de m'entendre le répéter à haute et intelligible voix. Comme mes Ancêtres avaient coutume de le faire lors des SLAMS ANCIENS, je continuerai à défier tous ceux qui disent que ceux qui ont fondé l'EGYPTE ANTIQUE n'étaient pas des NOIRS D'AFRIQUE d'étaler leurs ARGUMENTS et de nous expliquer l’EGYPTIEN ANCIEN de manière PHILOLOGIQUE. Ils ne le pourront pas, tout simplement parce qu'ils n'ont pas les clefs pour cela. Au commencement de l'EGYPTE ANTIQUE était la CITE DE HAWK et des LUO que l'on pourrait aussi appeler DJEN-NOUBA.
Je reviendrai prochainement à travers un LIVRE en préparation pour expliquer comment la FAMILLE des LANGUES NIGER-CONGO ou LANGUES NIGERO-CONGOLAISES est celle qui a accompagné l’HOMO SAPIENS dans sa MIGRATION à travers le MONDE.
J’ai déjà dit que je n’étais pas d’accord avec une certaine façon de classer les LANGUES NEGRO-AFRICAINES (LNA) dans la classification généralement admise encore de nos jours. Tout simplement, parce que quand on étudie ces langues de près et la classification en question, on se rend compte que certaines langues sont dans certains groupes de familles uniquement pour des raisons GEOGRAPHIQUES et non GENETIQUES. Les LINGUISTES AFRICAINS devraient donc reprendre ce travail de CLASSIFICATION LINGUISTIQUE. Je ne le suis pas, mais je le leur dit quand même ! Même si j’admets que l'attribution génétique des langues est toujours un sujet très délicat et très difficile.
Par Marcus Boni TEIGA
*1 - Philippe MASSON, Banco gagnant à Djenné, d’a : https://www.darchitectures.com/banco-gagnant-djenne-a238.html
(d’a est un magazine libre et indépendant de toute institution, Ordre, entreprise du BTP ou groupe d’architectes. Il est uniquement financé par vos abonnements, la vente en kiosque et l’apport des annonces publicitaires. d'architectures/SEA innovapresse 15 Avenue de la Grande Armée, 75116 PARIS)
*2 - Source : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/g%C3%A9nie/36569
*3 - B. Mathieu, « Seth polymorphe : le rival, le vaincu, l’auxiliaire », ENIM 4, 2011, p. 137-158. (*39 - B. Mathieu, “Polymorphic Seth: the rival, the defeated, the auxiliary”, ENIM 4, 2011, p. 137-158.)
*4 - Marcus Boni Teiga, TRIBUNE - Origine du mot « Sinaï » : Quand l’histoire de l’Inde antique vient éclairer celle de l’Egypte antique. Et vice versa…, Afrique Destinations, 05/02/2023 - 15:52 : https://www.afriquedestinations.com/fr/tribune-origine-du-mot-sinai-quand-lhistoire-de-linde-antique-vient-eclairer-celle-de-legypte