"Justina Mutale est une icône imposante d'un repos exceptionnel, une femme d'une valeur inestimable, une héroïne attentionnée et influente, qui incarne des normes élevées, l'éthique, l'attention et un soutien sans faille pour les femmes et les valeurs". - Journal Point de Vue Africain
Son Excellence le Dr Justina Mutale est une femme d'État extraordinaire. Alors qu'une définition du dictionnaire de la femme d'État est «… une femme qui est active en politique ou au gouvernement; ou qui occupe une haute fonction publique », une autre définition est de « … personne qui est intelligemment active dans un travail qui profite aux citoyens d'un État ou d'une nation ». Justina Mutale appartient à cette dernière catégorie de femme d'État et non seulement elle profite à un État ou à une nation, mais son travail s'étend au monde entier. Le fait qu'elle ne dirige aucun pays et qu'elle ne soit pas activement impliquée dans la politique ne fait aucunement Justina Mutale moins de la femme d'État qu'elle est. Justina Mutale défie la signification conventionnelle du leadership et de la femme d'État avec ses qualités de leadership mondial et de femme d'État, qui défient tous les stéréotypes et normes. N'étant pas une leader ou une dirigeante d'un pays ou d'une nation, le rôle de Femme d'État de Justina Mutale peut être comparé à l'observation de Tom Goodwin de certaines des meilleures marques du monde des affaires au 21e siècle : « … la plus grande entreprise de taxis au monde, Uber, ne possède pas de voitures. La société de médias la plus populaire au monde, Facebook, ne crée aucun contenu. Le détaillant le plus précieux au monde, Alibaba, n'a pas de stock. Et le plus grand fournisseur d'hébergement au monde, Airbnb, ne possède aucune propriété ».
Nommée comme l'un des noms les plus respectés d'Afrique, des visages bien connus et des voix influentes, Justina Mutale est une Femme d'État qui change le jeu, change les règles et change l'avenir. Elle fait partie des nouveaux leaders et influenceurs du XXIe siècle de notre époque, qui remettent en question ce que nous connaissons depuis des lustres, défiant les stéréotypes, défiant les normes et créant leur propre réalité, qui résonne avec les besoins des gens qui les entourent. Justina Mutale est l'une des leaders du 21e siècle qui dirige en maximisant les ressources qui les entourent pour créer de puissants effets d'entraînement qui changent des vies dans le monde entier, en utilisant la puissance de leurs dons, de leur vision et de leur créativité. Elle a été présentée comme une héroïne dans le Capital Finance International Journal, qui apporte une couverture et une analyse des moteurs du changement en combinant les points de vue des principales organisations multilatérales et nationales avec le leadership éclairé de certains des plus grands esprits du monde. Justina Mutale a été mondialement reconnue comme une personnalité publique qui a la capacité d'utiliser son statut pour potentiellement influencer une nouvelle pensée, inspirer l'avenir, motiver la jeune génération et rendre le monde meilleur.
"Lorsque vous rencontrez une personne de conviction, vous êtes frappé par son aura. Ce fut le cas lorsque j'ai rencontré Justina Mutale pour la première fois à Dubaï. Au fil des conversations ultérieures, il est devenu de plus en plus clair que Justina est destinée à mener la cause de la justice pour les femmes et les filles. ”
- Alex Goslar, expert en image de marque internationale, Bangkok
Justina Mutale possède actuellement six doctorats honorifiques, dans six disciplines différentes, de six institutions différentes, dans six pays, de six continents à travers le monde et elle est inscrite sur de nombreux Halls of Fame, listes de Qui est Qui, listes influentes et listes de pouvoir à travers le monde. Justina Mutale a été mondialement reconnue comme l'une des femmes d'origine africaine les plus influentes et les plus inspirantes. En 2012, elle a reçu le prestigieux titre de «Femme africaine de l'année» partageant une plate-forme avec divers présidents et chefs d'État africains. Justina Mutale est membre émérite de l'Ordre mondial des dignitaires et de l'Institut biographique royal, partageant ces deux plates-formes prestigieuses avec la royauté, les chefs d'État ; Dirigeants, diplomates de haut niveau et dignitaires de différentes parties du monde. Justina Mutale est nommée parmi les 100 Africains les plus réputés au monde ; et est également répertorié dans la Powerlist des personnes noires les plus influentes au Royaume-Uni; et a été honorée comme la personne noire la plus influente d'Europe. Justina Mutale est présentée dans le Black 100+ Hall of Fame, une exposition et un héritage des 100 meilleurs Black Achievers de la Grande-Bretagne moderne. Et a été honorée pour ses qualités de leadership exceptionnelles et phénoménales en tant que Femme d'État ; Leader mondiale de l'année et Femme leader emblématique de la décennie. En reconnaissance de son travail philanthropique, Justina Mutale a également été honorée en tant que Global Official of Dignity ; Ambassadeur de bonne volonté pour l'Afrique ; Ambassadeur pour la paix; et Missionnaire de la Paix. Elle est Présidente, Marraine, Ambassadrice, Administratrice, Conseillère, Directrice du conseil d'administration, Consultante et Mentore de plusieurs organisations au Royaume-Uni et dans le monde.
Son Excellence Dr. Justina Mutale est Fondatrice et Présidente de la Fondation Justina Mutale, et partenaire fondatrice de WINTRADE Week, une convention mondiale de signature des femmes dans le commerce, les affaires et l'entreprise. En outre, le Dr Mutale est le Fondatrice de POSITIVE RUNWAY : The Global Catwalk to Stop the Spread of HIV/AIDS. Le Dr Mutale siège au Conseil consultatif du World Leaders Forum ; et est l'Envoyée mondiale et la porte-parole pour l'égalité des sexes au sein de l'International Women's Think Tank. Elle est co-auteur de « Women on Corporate Boards : An International Perspective ». Avant de fonder sa propre organisation, le Dr Mutale a travaillé au sein de la section Genre du Secrétariat du Commonwealth, qui s'occupe de l'égalité des sexes, de l'intégration du genre et de l'autonomisation des femmes et des filles dans tout le Commonwealth.
Sovereign Magazine a rencontré Justina Mutale pour cette interview exclusive :
in Leadership Forum, au siège des Nations Unies à Vienne, en Autriche.
Quelle est votre définition du leadership ?
Je m'identifie fortement et je soutiens la déclaration du Général américain Norman Schwarzkopf lorsqu'il a déclaré : « Le leadership est une puissante combinaison de caractère et de stratégie. Mais si vous devez vous en passer, soyez sans stratégie ». Nous vivons dans un monde où trop souvent le leadership est axé sur la stratégie, et où la rapidité et le pragmatisme sont considérés comme essentiels pour faire le travail. Vous constatez donc que beaucoup de gens commettent souvent l'erreur de penser que ceux qui ont les diplômes les plus élevés ou les qualifications intellectuelles ou académiques les plus admirables peuvent être de bons leaders. Au contraire, je crois que le leadership doit venir du cœur, car le leadership concerne les personnes. La capacité d'inspirer les autres à se donner sans réserve à la mission n'est pas une technique de gestion, mais une technique de leadership - la gestion est positionnelle, tandis que le leadership est personnel. Je crois que le leadership consiste à mettre l'humanité au centre et à reconnaître que vous travaillez avec des humains et non avec des machines ou des statistiques. Il fut un temps où le leadership signifiait fléchir les muscles et tirer son poids et intimider les autres. Cependant, au 21e siècle, le leadership consiste à s'entendre avec les gens. Pour être un leader efficace, il faut être prêt à avoir un impact positif sur la vie des autres. Vous devez avoir la capacité d'inspirer votre équipe à aller au-delà de ce qui est perçu comme possible. Un leader doit gagner le cœur et l'esprit de l'équipe et leur engagement à faire un effort supplémentaire.
Parlez-nous de votre industrie et de ce que représente le leadership dans celle-ci.
Je travaille dans la Société civile. Par le biais de mon organisation POSITIVE RUNWAY, qui s'étend sur 6 continents à travers le monde, nous visons à transmettre le message sur le VIH/SIDA dans un discours adapté à la 21ème génération de jeunes, afin de garantir un monde sans SIDA et une génération sans SIDA. En travaillant avec une communauté mondiale de jeunes, nous devons faire face à des cultures, des comportements, des attitudes, des traditions et des croyances variés d'un groupe diversifié de personnes qui travaillent avec nous à travers le monde. Travailler dans la Société civile exige que nous nous efforcions de faire une différence d'une manière que les gouvernements et les entreprises ne peuvent pas. En tant que Société civile, nous avons une philosophie qui place les questions sociales et environnementales au-dessus des questions politiques ou économiques. En tant que Société civile, notre mission est de tendre la main aux communautés exclues pour apporter des solutions innovantes aux nouveaux problèmes auxquels la société est confrontée chaque jour. L'enjeu pour les leaders de la Société civile comme moi n'est pas seulement de s'assurer que le travail quotidien est fait et de qualité, mais aussi de gagner l'engagement de nos équipes. En effet, bon nombre des employés et bénévoles talentueux et dévoués qui travaillent avec nous le font pour la noble cause d'améliorer la vie des autres, plutôt que de travailler pour l'argent ou l'avancement personnel. En tant que principales voix de la justice sociale, économique et environnementale et fournisseurs de services innovants aux personnes vulnérables, il est important que nous menions notre travail armés d'intelligence émotionnelle et de l'esprit d'Ubuntu, une philosophie africaine traditionnelle qui nous enseigne la compassion. Par conséquent, pour être efficace en tant que leader d'une organisation ayant des objectifs caritatifs, il faut inspirer et inciter les autres à donner le meilleur d'eux-mêmes, ce qui n'est pas toujours facile dans un monde rempli de défis commerciaux et géopolitiques complexes.
Quels sont les défis particuliers auxquels sont confrontées les femmes dans votre secteur et quels conseils donneriez-vous pour les surmonter ?
Pendant des décennies, les femmes ont été impliquées dans la Société civile et les efforts de développement international en tant que participantes, professionnelles, bénévoles et militantes. Pourtant, dans le cadre de ces efforts, les femmes continuent de se voir refuser l'accès aux postes de direction. Comme indiqué précédemment, je crois que chaque femme a le potentiel de diriger. Cependant, les femmes manquent souvent d'opportunités, de compétences et de ressources pour réaliser leur plein potentiel. Certains des défis qui entravent les femmes comprennent le manque d'éducation, de formation, de transfert de connaissances et de développement du leadership appropriés. De plus, le leadership a été considéré à travers des lentilles sexistes et vous constatez donc qu'une grande partie du leadership des femmes au cours des siècles a été invisible. Un grand défi pour nous est de prendre conscience que nous avons besoin de nouvelles lentilles qui nous feront voir les choses différemment. D'autres défis incluent le manque de mentors et de réseaux de soutien. Je crois que les femmes ont besoin de programmes de mentorat et de réseaux de soutien pour leur fournir le soutien psychologique et social dont elles ont tant besoin pour leur permettre de gérer efficacement leurs rôles de leadership. Contrairement à leurs homologues masculins, les femmes doivent souvent naviguer dans des paysages sociétaux et organisationnels. Elles doivent également faire face à des réactions ambivalentes profondément ancrées dans les stéréotypes de genre. Il y a donc un besoin urgent de lever les barrières qui confinent les femmes à des places déjà définies pour elles dans des rôles particuliers prescrits. En tant que femmes du 21e siècle, nous devons avoir cette conviction inébranlable qu'il est politiquement correct de rivaliser sur un pied d'égalité avec nos homologues masculins sans avoir l'impression de dépasser nos limites ou de saper la masculinité des hommes.
Avez-vous des buts? Si oui, pouvez-vous vous rappeler à quel moment vous avez commencé et ce qui a influencé votre établissement d'objectifs ?
J'ai lu quelque part que les grands leaders ne font jamais de plans. Tout en étant proactifs, les grands leaders répondent aux besoins du moment. Par exemple, j'ai fondé POSITIVE RUNWAY en tant que campagne de réponse au VIH/SIDA pour combler le fossé dans les efforts mondiaux pour arrêter la propagation du VIH/SIDA. En réponse à l'écart persistant entre les sexes et aux aspirations des objectifs mondiaux de développement durable de l'Agenda 2030 des Nations Unies et de l'Agenda 2063 de l'Afrique, j'ai lancé la Fondation Justina Mutale pour doter les femmes des compétences nécessaires pour atteindre l'égalité des sexes. Je suis une personne très spontanée et je ne fais pas de plans stratégiques délibérés qui s'étalent sur plusieurs années. Cependant, cela dit, une fois que je me suis lancée dans un projet ou un programme, je fixe des objectifs précis pour guider ce projet ou programme particulier. Par le biais de ma Fondation, nous plaidons pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes, y compris la participation politique des femmes et l'autonomisation économique des femmes par le commerce, les affaires et l'entreprise en offrant une formation en leadership et un mentorat. Nous plaidons également pour le maintien et l'achèvement de l'enseignement supérieur pour les jeunes femmes issues de familles rurales et défavorisées en Afrique en leur offrant des bourses universitaires pour accéder à l'enseignement supérieur dans les universités du monde entier. La Fondation fait partie des délégations de la Société civile auprès de la Commission des Nations Unies sur la condition de la femme à New York ; ainsi qu'au Groupe de haut niveau de l'Union africaine sur l'égalité des sexes tenu en marge du Sommet des chefs d'État de l'Union africaine ; et le Forum des femmes du Commonwealth organisé en marge des réunions des chefs d'État du Commonwealth. Quand j'étais très jeune, vers l'âge de 10 ans, je voulais devenir religieuse ou prêtre. Je voulais servir Dieu. Je voulais aussi servir et sauver l'humanité. Je voulais nourrir les affamés. Je voulais réconforter les pauvres et je voulais empêcher les pécheurs de brûler en enfer. Et donc, me voilà, un humanitaire essayant de sauver l'humanité d'un enfer sur terre au 21ème siècle ! Je pourrais peut-être revenir sur ma parole et dire que mes objectifs ont été fixés alors à l'âge tendre de 10 ans !
Quelle est votre plus grande force et comment cela vous a-t-il aidé à atteindre vos objectifs ?
Je suis une fonceuse-née et une personne très ambitieuse avec une volonté insatiable de réussir. Je travaille donc très dur pour faire avancer les choses. Je crois aussi que si l'on veut voir ses rêves se réaliser, il ne faut jamais s'endormir ! Pour réussir, il faut travailler dur et s'investir à 110% dans tout ce qu'on fait. Une fois que j'ai une vision dans ma tête, je ferai tout ce qu'il faut pour que cette vision devienne réalité, malgré tous les obstacles qui pourraient se dresser sur mon chemin. Je suis également une personne très résiliente, un trait qui est très important dans cette industrie et qui m'a été très bénéfique en termes de domaine dans lequel je travaille. Ma détermination et ma concentration pour atteindre et atteindre mes objectifs sont quelques-unes des qualités qui m'ont conduit à être la personne que je suis aujourd'hui et à accomplir ce que j'ai accompli jusqu'à présent. Je travaille également dans une industrie pour laquelle j'ai une grande passion et à cause de cela, tout ce que je fais dans mon travail me vient naturellement. Mon travail est presque mon passe-temps, car je ressens un immense plaisir à faire mon travail.
En quoi consiste une journée de travail type pour vous ?
Avec mon type de travail, il n'y a jamais de journée type à raconter car chaque jour apporte avec lui de nouvelles opportunités, de nouveaux défis ainsi que des urgences. Je voyage aussi beaucoup dans le cadre de mon travail et la plupart du temps, cela signifie un nouveau pays, une nouvelle ville et un nouvel environnement chaque jour. Cependant, dans la mesure du possible, la plupart des journées commencent par la méditation, la prière et une tasse d'eau tiède. Je m'assure aussi toujours de m'habiller avec le sourire dès le matin. Je crois qu'un sourire est le plus grand accessoire que l'on puisse avoir car il apporte une énergie positive aux activités de la journée. Je me réveille normalement à 4h30 du matin, quelle que soit la partie du monde où je me trouve à un moment donné, car mon esprit est le plus vif tôt le matin. J'utilise ce moment calme de la nuit ou tôt le matin pour passer en revue ce qui doit être fait ce jour-là. Je l'utilise également pour répondre aux e-mails urgents et autres correspondances, y compris les réseaux sociaux. Quand je suis à la maison, je fais de longues promenades dans le parc avec notre chiot pour me rafraîchir l'esprit vers 7h00 après avoir travaillé à partir de 4h30. Pour le reste de la journée, je dois parfois assister à des réunions et d'autres j'ai des allocutions, des conférences, des entretiens et aussi m'occuper du travail sur mon bureau, ainsi que des engagements domestiques et familiaux.
Quelle est l'importance des relations pour vous ? Vous souvenez-vous d'une relation particulière qui a eu un grand impact sur vous, positif ou négatif ?
En tant qu'Africain, nous croyons aux familles élargies et par conséquent, les relations sont très importantes pour moi. La philosophie africaine d'Ubuntu nous enseigne également qu'une « personne est une personne à cause d'autres personnes - je suis donc tu es » et que nous apprenons à être humains en apprenant d'autres humains. La plus grande relation que j'aie jamais eue, et qui a eu le plus grand impact sur moi, c'est la relation avec mes parents et mes frères et sœurs. Un moi le monde entier dans ma famille avec ses différentes caractéristiques et ses rivalités fraternelles. J'ai donc appris en grandissant dans une famille nombreuse et avec les conseils de mes parents que l'humilité, le tact, l'affirmation de soi, la foi, la méticulosité, la conscience de soi et de la société sont quelques-uns des traits qui permettent d'influencer les autres. Cela m'a appris à utiliser l'intelligence émotionnelle, la conscience de soi et les compétences de conscience sociale, ce qui me donne la capacité de reconnaître les émotions en moi et chez les autres et d'être consciente et de comprendre ce que les autres ressentent et d'établir des relations positives avec les autres. J'ai grandi dans un environnement qui mettait l'accent sur l'empathie et l'altruisme. Il a également souligné la règle d'or, "faire aux autres ce que vous voudriez qu'ils vous fassent" en allant au-delà de la réalisation de soi et du développement personnel au profit des autres. Grâce à mes parents et à ma grande famille, j'ai appris l'importance de la préparation, de la précision, de la discipline ultime, de l'initiative, de la concentration, de la diligence, du tact, de la persévérance, de l'endurance et de la résilience. Au cours de ces premières années, j'ai appris à viser une cible et à tirer dans le mille, j'ai également appris à diriger un peloton au combat et à gagner la guerre. Je réalise maintenant que ce sont les mêmes traits et qualités qui sont nécessaires pour être un leader efficace.
Comment vous récompensez-vous ?
Entre mes voyages et mon travail, je veille toujours à me consacrer du temps. Je passe beaucoup de temps avec moi-même dès que je le peux. Cela me donne l'occasion de réfléchir sur mon travail, ma vie personnelle et ma famille, sur ce qui doit être fait et ce qui peut être mieux fait. Parfois, je repose complètement mon esprit. J'aime prendre des vacances et aller dans des endroits exotiques où je peux être en harmonie avec la nature. Je fais aussi des pèlerinages spirituels. En tant qu'étudiante en philosophie pratique, je me récompense normalement avec un nouveau livre sur la philosophie et le leadership chaque fois que je voyage. J'aime aussi les livres ou les biographies sur certains des plus grands leaders que le monde a eu le privilège d'avoir jusqu'à présent. Bien sûr, j'aime faire du shopping, j'aime la bonne nourriture, j'aime la bonne compagnie. Je sors beaucoup et j'aime danser, faire du shopping et j'aime les beaux vêtements élégants. Je passe aussi beaucoup de temps avec mes enfants et je les emmène avec moi en vacances dès que possible.
Par Sovereign Magazine : https://www.sovereignmagazine.co.uk
*This article has been translated from English into French by Marcus Boni Teiga
